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Violences à l'école : Brice Hortefeux et Luc Chatel ont réuni 53 chefs d'établissement

Mardi 4 mai, Brice Hortefeux, ministre de l'Intérieur, et Luc Chatel, ministre de l'Education nationale, ont réuni les chefs des 53 établissements retenus pour la mise en place d'un bureau destiné au policier ou au gendarme référent.

Mardi 4 mai, Brice Hortefeux, ministre de l’Intérieur, et Luc Chatel, ministre de l’Education nationale, ont réuni les chefs des 53 établissements retenus pour la mise en place d’un bureau destiné au policier ou au gendarme référent. Cette réunion de travail s’est tenue au ministère de l’Education nationale en présence du Préfet de police, des directeurs généraux de la police nationale et de la gendarmerie nationale, des directeurs généraux de l’enseignement scolaire et des ressources humaines ainsi que des recteurs des académies concernées.

La liste des 53 établissements scolaires retenus a été établie en concertation entre les services du ministère de l’Intérieur et ceux du ministère de l’Education nationale. Choisis parmi les établissements les plus exposés aux phénomènes d’intrusions et de violences à leurs abords, les lycées et collèges sélectionnés sont répartis dans onze académies de France métropolitaine.

Conformément à l’engagement du Président de la République à Bobigny (Seine-Saint-Denis) le 20 avril dernier, les principaux et proviseurs de ces établissements se voient proposer un partenariat avec un policier ou gendarme référent qui tiendra des permanences plusieurs fois par semaine au sein même de l’établissement.

Les ministres ont rappelé aux chefs d’établissement les missions traditionnellement dévolues aux gendarmes et policiers référents : organiser les modalités d’échanges d’informations ; contribuer à l’élaboration du diagnostic de sécurité ; transmettre les signalements relatifs aux faits de violence ; organiser des séances d’information auprès des élèves sur la sécurité, le racket, les actes à caractère raciste ou sexiste, les violences ; mener des actions de prévention et d’information sur les toxicomanies ; mettre en œuvre des actions spécifiques à la sécurité routière.

 

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