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Sûreté et sécurité

Azur Drones fait son entrée dans la vidéoprotection

A l'occasion du Salon du Bourget, ce spécialiste du drone civil français va exposer sa nouvelle offre, Drone'sGuard, de vidéoprotection par drone. Cette solution combine des technologies de vidéosurveillance telles que le tracking d'un individu, la lecture de plaque d'immatriculation, ou encore la transmission d'alertes en temps réel.

Après les Cannes Security Meetings qui se sont tenus en avril dernier, cet acteur majeur du drone civil français continue sa tournée pour présenter sa nouvelle offre, Drones’Guard, à l’occasion du Salon du Bourget qui se tiendra du 19 au 25 juin à l’aéroport du Bourget.

Videosurveillance par drone
Cette solution de vidéoprotection par drones à voilure fixe et à voilure tournante se constitue de charges embarquées de pointe qui permettent de s’adapter aux différents besoins en matière de sécurité (reconnaissance, détection, surveillance, levée de doute, rondes….), qu’ils soient ponctuels ou permanents, sur de courtes ou de grandes distances. Pour déployer cette solution, quelques minutes suffisent, que ce soit en milieu urbain, rural ou maritime.

Plusieurs variantes du drone selon le type de mission
A destination de la surveillance des sites industriels mais aussi des grands événements, cette solution combine des technologies de vidéosurveillance telles que le tracking d’un individu, la lecture de plaque d’immatriculation, ou encore la transmission d’alertes en temps réel. En fonction des différents types de mission, des variantes du drone sont disponibles. A commencer par un drone à voilure fixe, doté de caméras intégrées, dédié aux vols linéaires de longue durée (plus de 8 heures) et sur des surfaces larges. A cet égard, le drone devient captif et relié au sol par un câble d’alimentation. Enfin, pour les actions plus ponctuelles, qui nécessitent une intervention rapide, le groupe a développé un microdrone à voilure tournante avec caméras intégrées.

Des experts issus du renseignement militaire
Pour mener à bien ce projet, le constructeur a fait appel à des experts du renseignement militaire, bénéficiant d’autorisations délivrées par le Conseil national des activités privées de sécurité (CNAPS) pour exercer ces missions de vidéoprotection. Ces derniers auront pour mission d’analyser les données et d’assurer la maintenance des systèmes.

Ségolène Kahn

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